La ministre a salué le parcours exceptionnel de Jamal Labed, qui, est devenu, à force d’audace et de détermination, « l’un des pionniers français du numérique. »

A la fois symbole de la méritocratie républicaine, des opportunités qu’offre le numérique et des capacités d’innovation de la France, Jamal Labed est aujourd’hui un modèle « pour tous ceux qui veulent créer leur entreprise – et notamment les jeunes qui viennent des quartiers populaires. »

La ministre a rappelé la brillante carrière internationale de Jamal Labed, les entreprises qu’il a successivement fondées et dirigées, de la formation informatique à l’édition de logiciels : Sight International, Echo Soft Technologies, et enfin EasyVista, qui est aujourd’hui, dans son domaine, « un acteur français d’envergure mondiale. »

Fleur Pellerin a également souligné l’action décisive de Jamal Labed pour favoriser le développement du numérique français, et son engagement dans « des causes professionnelles d’intérêt général ». Elle a ainsi rappelé qu’il recrutait de nombreux jeunes des quartiers populaires de Seine-Saint-Denis, où son entreprise est implantée depuis des années.

Le numérique est en effet « facteur d’intégration », dans la mesure où c’est un secteur « où les compétences comptent plus que les diplômes et les réseaux », et qui est « sans cesse en quête de nouveaux talents et d’esprits originaux. »

La ministre a enfin rappelé qu’à l’échelle internationale, après avoir été l’un des principaux défenseurs de la propriété intellectuelle des éditeurs de logiciels (comme porte-parole de BSA France), Jamal Labed, à la tête de l’AFDEL, œuvrait beaucoup pour aider les entreprises françaises du numérique, notamment afin qu’elles puissent s’implanter sur les marchés étrangers.