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Snowflake : 87 % des entreprises françaises ont adopté une stratégie data driven pour prendre au moins une partie de leurs décisions

septembre 2022 par Snowflake

Le Data Cloud Snowflake présente les résultats de son étude sur l’économie des données et les défis que les entreprises doivent relever pour s’en emparer sur le marché français. Selon l’étude « Comment gagner dans l’économie des données d’aujourd’hui », les entreprises françaises sont aujourd’hui en bonne posture pour tirer parti de cette économie de la donnée et avancent dans la bonne direction.

87 % des répondants indiquent s’appuyer sur les données pour prendre au moins une partie de leurs décisions, et 34 % assurant même que c’est le cas pour la majorité de leurs décisions. Par ailleurs, 66 % des entreprises françaises interrogées déclarent pouvoir facilement partager leurs données entre les différentes business unit, soit 11 points de plus que la moyenne EMEA, et 54 % déclarent accéder facilement à des données en dehors de l’entreprise pour réaliser leurs propres analyses (+5 points par rapport à la moyenne EMEA).

L’étude montre que la majorité des entreprises françaises prennent très au sérieux les questions d’économie de la donnée. 58 % des répondants interrogés dans l’Hexagone assurent avoir mis en place des stratégies claires de données pour accélérer leurs développements et 60 % ont mis en place un cadre chargé d’assurer la transition data driven de l’entreprise. Dans le même objectif, 69 % des entreprises assurent avoir instauré une collaboration renforcée entre les équipes IT et business autour des questions de data economy.

"Les entreprises françaises font partie des bons élèves en matière d’analyse et d’utilisation des données en Europe. Nous voyons aujourd’hui de plus en plus d’entreprises françaises s’appuyer sur les données pour rendre leurs processus de prise de décision plus vertueux et plus efficaces ", détaille Jennifer Belissent, Principal Data Strategist de Snowflake. " Il reste toutefois des défis à relever, notamment en matière de talents. Par ailleurs, certaines font encore face à des barrières culturelles toujours très présentes."

L’étude met également en évidence les objectifs que souhaitent accomplir les entreprises françaises grâce aux données, ainsi que les résultats auxquels elles ont fait face quand elles étaient confrontées à une mauvaise stratégie de données :

 Parmi les objectifs que se sont fixées les entreprises françaises en matière de données, 85 % espèrent obtenir de meilleures prévisions en matière de performances business, 81 % souhaitent mieux identifier les risques et prévenir la fraude et 75 % mieux définir les cibles pour améliorer leurs campagnes marketing. Figurent aussi dans les résultats l’amélioration de la supply chain (88 %), l’amélioration des processus (84 %), ou encore une meilleure personnalisation des services clients (85 %).

 Le plus grand challenge auquel font face les entreprises françaises en matière de données est par ailleurs le manque de talents (26 %), suivi des barrières IT (21 %) et des barrières culturelles et réglementaires (14 %°).

 Dans la mise en place de leurs stratégies data, les entreprises françaises ont également dû faire face à des échecs à cause du manque de data management. 55 % des répondants ont ainsi dû faire face à des pertes de données, 51 % indiquent avoir raté des opportunités stratégiques, 34 % n’ont pas obtenu les résultats attendus pour leurs investissements ou encore ont été incapable de prévenir ou de détecter rapidement une brèche (27 %).


Méthodologie

L’analyse présentée dans ce rapport repose sur une enquête menée auprès de 1 000 cadres supérieurs d’entreprise et de technologie en novembre et décembre 2021, dont 96 en France. Elle a été menée dans huit pays : Australie, Canada, France, Allemagne, Inde, Japon, Royaume-Uni et États-Unis. Cinq secteurs sont représentés : les services financiers, les soins de santé et les sciences de la vie, le commerce de détail et les produits de grande consommation, le divertissement et la technologie. Seuls les représentants des moyennes et grandes entreprises (250 millions de dollars ou plus de revenus annuels) ont été inclus. Un peu plus de la moitié des personnes interrogées étaient des cadres supérieurs et des membres de conseils d’administration, les autres étant d’autres cadres supérieurs en matière de technologie.


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