Satoshi Nakamoto démasqué : pourquoi toutes les preuves pointent vers Len Sassaman
octobre 2024 par David Michel, fondateur de SolidMarket
Alors que le monde de la cryptographie attend avec impatience la diffusion imminente d’un reportage de HBO prétendant révéler l’identité de Satoshi Nakamoto, je tiens à partager avec vous les résultats de mes propres recherches, qui pourraient bien devancer cette annonce et bouleverser notre compréhension de l’histoire du Bitcoin. Tous les indices mènent à une conclusion troublante mais fascinante : le Bitcoin serait né en Belgique, et Len Sassaman, un cryptographe de génie ayant vécu dans ce pays, pourrait être le véritable esprit derrière cette révolution monétaire.
Une enquête qui dévoile des faits jamais révélés
Dans le cadre du développement de mon projet crypto, le Solid Token, j’ai entrepris une analyse approfondie du white paper du Bitcoin pour en saisir toutes les subtilités. Ce qui a initialement attiré mon attention, c’est un détail en apparence anodin : le mot "Benelux". C’est ce petit indice qui m’a conduit à une découverte stupéfiante.
Des références issues d’un ouvrage rare belge
Les références 2, 3, 4 et 5 du document fondateur du Bitcoin proviennent d’un ouvrage rare intitulé « 20th Symposium on Information Theory in the Benelux », un recueil de travaux cryptographiques avancés présenté lors d’un séminaire tenu en Belgique en 1999. Cet ouvrage, qui compile des idées avant-gardistes en cryptographie, n’a été mis en ligne qu’à partir de 2020. Avant cela, il n’était accessible qu’aux participants du séminaire et disponible dans la prestigieuse bibliothèque de la Katholieke Universiteit Leuven, une institution que Len Sassaman a fréquentée.
Le fait que Satoshi Nakamoto ait cité ces références dans le white paper du Bitcoin suggère qu’il avait un accès direct à cet ouvrage exclusif. Cette découverte renforce l’hypothèse d’un lien étroit entre Len Sassaman et la création du Bitcoin.
Une preuve photographique convaincante
L’un des éléments les plus frappants qui conforte cette théorie est une photo postée par Len Sassaman sur son compte Flickr, où l’on voit clairement une édition de cet ouvrage rare sur son étagère personnelle. Cette image, publiée bien avant que l’ouvrage ne soit disponible en ligne, montre que Sassaman possédait ce document longtemps avant que le grand public n’y ait accès. Ce détail apporte une preuve tangible que Sassaman avait non seulement un accès privilégié à ces informations, mais aussi une connaissance intime des références cryptographiques utilisées dans le white paper du Bitcoin.
La coïncidence entre la possession de cet ouvrage rare et son implication dans des projets cryptographiques de pointe en Belgique semble bien trop significative pour être ignorée.
Un parcours au cœur de l’excellence cryptographique belge
Len Sassaman, passionné par les défis posés par le Problème des Généraux Byzantins, s’est immergé dans l’élite de la cryptographie en rejoignant le programme COSIC de la KU Leuven en Belgique. En mai 2008, lors d’un séminaire annuel, il a coécrit avec son directeur de thèse, le professeur Bart Preneel, un article intitulé « The Byzantine Postman Problem », présenté lors du symposium. Ce travail explorait de nouvelles approches pour résoudre des attaques byzantines, illustrant son engagement pour des solutions innovantes en cryptographie.
Parallèlement à ce travail académique, Sassaman développait Mixmaster, un remailer anonyme destiné à renforcer la confidentialité des échanges sur Internet. Il envisageait d’y intégrer Hashcash, un système de preuve de travail développé par Adam Back, afin de prévenir les abus et améliorer la sécurité du réseau. Cette intégration figurait dans la To-Do list de Sassaman pour les futures versions du logiciel. Cependant, cette fonctionnalité n’a jamais été mise en place.
Ce qui rend cette omission particulièrement intrigante, c’est le timing. Peu après l’abandon de cette intégration cruciale, Bitcoin est apparu, apportant une solution révolutionnaire aux problèmes que Sassaman tentait de résoudre avec Mixmaster. L’arrêt soudain du développement de Mixmaster et le fait que Sassaman n’ait jamais commenté l’émergence de Bitcoin, qui utilisait un système similaire de preuve de travail, soulèvent des questions. Il est possible que Sassaman ait suspendu ses travaux pour se concentrer sur un projet plus ambitieux : Bitcoin.
Des indices troublants dans son entourage
Un autre élément révélateur concerne l’activité en ligne de Len Sassaman et de son épouse, Meredith L. Patterson, avant et après le lancement du Bitcoin. Le couple a supprimé l’ensemble de leurs tweets six mois avant et six mois après l’apparition de Satoshi Nakamoto, une période cruciale dans la chronologie du projet Bitcoin. Cette suppression pourrait être interprétée comme une tentative de masquer des informations sensibles liées à leur implication.
Plus troublant encore, le 7 décembre 2010, Meredith L. Patterson a publié un tweet particulièrement révélateur : "Bitcoin isn’t ready for prime time yet, according to its creator. Interested people can help finish it, though !" Ce message, posté cinq jours avant le dernier message public de Satoshi Nakamoto, suggère qu’elle avait une connaissance intime des intentions de Satoshi. Comment Meredith pouvait-elle savoir que Satoshi allait bientôt passer la main ? Ce tweet, combiné aux autres indices, renforce l’idée d’une implication directe du couple dans la création du Bitcoin.
Un profil qui correspond en tous points
Sur son profil Twitter, Len Sassaman se décrivait comme "Maker of disruptive technology" (Créateur de technologies disruptives). Si ses contributions publiques, telles que son travail sur les remailers anonymes, sont significatives, elles ne semblent pas justifier une telle affirmation à moins qu’il ne soit derrière une innovation aussi massive que le Bitcoin. De plus, peu avant sa disparition prématurée en 2011, Sassaman a exprimé son désir de "laisser un monde meilleur aux générations futures", une ambition qui résonne profondément avec l’impact révolutionnaire du Bitcoin sur le système financier mondial.
Une confirmation par l’intelligence artificielle
Pour valider mes découvertes, j’ai soumis ces éléments à ChatGPT, une intelligence artificielle avancée. Après une analyse bayésienne approfondie, l’IA a estimé à plus de 99% la probabilité que Len Sassaman soit Satoshi Nakamoto. Cette conclusion dépasse de loin les hypothèses précédentes. Par exemple, un article de BE[in]Crypto du 23 avril 2023 mentionnait que ChatGPT plaçait Nick Szabo, un autre cryptographe souvent cité comme possible créateur du Bitcoin, en première position avec un pourcentage relativement faible. Avec les nouvelles informations que j’apporte, le profil de Len Sassaman semble correspondre beaucoup plus étroitement à celui de Satoshi.
Len Sassaman et l’héritage de Satoshi Nakamoto
Len Sassaman est décédé en 2011, emportant avec lui des secrets qui, aujourd’hui, semblent de plus en plus liés à l’identité de Satoshi Nakamoto, créateur du Bitcoin. Les indices recueillis au cours de cette enquête pointent fortement dans sa direction. Si cette hypothèse est correcte, Sassaman aurait offert au monde une innovation qui continue de transformer le système financier mondial. Son œuvre et son engagement en matière de cryptographie et de protection de la vie privée demeurent une source d’inspiration pour les chercheurs et passionnés du domaine.
Un défi lancé à HBO
HBO s’apprête à diffuser son propre reportage sur l’identité de Satoshi Nakamoto, mais je suis convaincu que les faits que je présente ici apportent un éclairage nouveau et déterminant. En confrontant ces recherches à celles de HBO, nous pourrions enfin lever le voile sur ce mystère. Qui saura convaincre le plus son audience ?
Conclusion
Cette tribune vise non seulement à partager des découvertes qui pourraient résoudre le mystère de Satoshi Nakamoto, mais aussi à stimuler le débat dans la communauté cryptographique. Une question persiste toutefois : quelle sera la réaction de Meredith L. Patterson face à ces révélations ? Jusqu’à présent, elle a nié toute implication dans la création du Bitcoin, mais son rôle réel dans cette histoire reste une énigme. Était-elle davantage impliquée qu’elle ne l’a laissé entendre ? L’héritage de Len Sassaman et son lien avec Bitcoin méritent d’être explorés plus en profondeur.