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Swiss Life : Usurpation d’identité sur internet, comment réagir ?

février 2015 par Swiss Life

A l’heure où se multiplient les outils de partage d’information en ligne et où la vitesse de circulation des données sur la toile ne cesse d’accélérer, les internautes sont davantage exposés au risque d’usurpation d’identité. Pour se prémunir contre ce « nouveau » risque, l’assureur Swiss Life, intègre désormais une garantie « usurpation d’identité » à sa solution de protection de la e-réputation. Elle offre en cas de litige un accompagnement expert pour une cotisation raisonnable.

Redirection de son adresse mail vers une autre, piratage de données, souscription d’un crédit ou opérations financières frauduleuses...L’usurpation d’identité sur Internet a des conséquences multiples, souvent coûteuses et toujours complexes à gérer pour la victime. « On estime que 210 000 personnes en sont victimes chaque année. Les conséquences financières et morales ne sont pas des moindres : les victimes vivent l’usurpation de leur identité comme une véritable agression et « vol » de leur vie, certaines sont parfois amenées à rechercher une aide médicale », explique Eddie Abecassis, Directeur de la Stratégie Digitale chez Swiss Life.

Swiss Life, précurseur sur la protection de la e-reputation avec son offre Swiss Life e-reputation lancée en 2011, vient d’intégrer à son offre une garantie spécifique « usurpation d’identité ».

Concrètement, cette garantie permet :

 la constitution d‘un dossier afin de prouver l’identité de l’assuré

 la réalisation d‘un état des lieux des présences usurpées

 de se rapprocher des différents supports afin de rétablir les comptes usurpés

 de bénéficier de premiers conseils (changement d’adresse mail, personnes à contacter, objectif de cette usurpation, etc.)

 la prise en charge des honoraires et frais d’avocat

« Famille, étudiants en fin de cursus scolaire et leurs parents, cadres supérieurs avec une e-reputation à maintenir, e-shoppers,…chacun peut être concerné par ce risque, dès lors qu’il navigue sur Internet », précise Eddie Abecassis.


* Etude menée par le Credoc en 2009


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