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Oracle & International Data Group : Les entreprises européennes ne parviennent pas à valoriser leurs informations non structurées

décembre 2007 par Oracle & International Data Group

D’après une enquête sur les contenus non structurés menée auprès des
plus grandes entreprises européennes par Oracle, en partenariat avec International Data Group, il apparaît qu’alors
que le contenu non-structuré augmente sans cesse, les grandes entreprises européennes n’investissent pas dans des
solutions stratégiques.

D’après cette étude, les deux tiers des grands décideurs informatiques en Europe occidentale affirment gérer
correctement leurs données non structurées ou être bien avancés dans ce domaine (43%). Néanmoins, cette affirmation
est contredite par le fait qu’en matière de prise de décision, 60% des entreprises interrogées admettent avoir trop
d’informations ou que les informations dont elles ont besoin pour prendre leurs décisions sont enfouies dans des données
non pertinentes.

L’expression "contenus non structurés" est également très mal comprise parmi les grandes entreprises interrogées en
Allemagne, Belgique, Espagne, France, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse. En France par exemple, 32% des personnes
interrogées affirment ne pas savoir précisément ce que sont les "contenus non structurés".

Cependant, parmi ceux qui affirment connaître la signification de cette expression, il apparaît que beaucoup ont adopté
une approche morcelée pour gérer ces contenus, le nombre moyen de systèmes de gestion de contenu par entreprise
étant de 4,28, avec seulement un peu plus de la moitié d’entre elles (58%) qui envisagent de les refondre afin de générer
de la valeur stratégique pour l’entreprise. Se pose donc la question de savoir si les entreprises européennes comprennent
vraiment que les contenus non structurés constituent un enjeu majeur pour l’ensemble de l’entreprise qui a besoin d’une
solution stratégique globale. Si les entreprises interrogées qui préparent ou testent actuellement des systèmes de gestion
de contenu adoptent une approche globale de la gestion de contenus, ce qu’affirment environ les deux tiers d’entre elles,
alors celles-ci devraient commencer à produire de véritables avantages concurrentiels à partir de leurs contenus non
structurés si ces systèmes s’appuient sur des procédures et processus opérationnels exploitant les bonnes pratiques de
référence.

Il est préoccupant de constater que 63% des entreprises européennes considèrent le courrier électronique comme
première source de gestion des contenus non structurés, avec 86% d’entre elles reconnaissant que le courrier
électronique constitue le premier vecteur de partage de contenus. Etonnement, le courrier électronique est la première
source d’informations vers laquelle les gens sont le plus susceptible de se tourner pour prendre des décisions.

"Cette étude montre bien à quel point les attitudes, les perceptions et les approches de la gestion de contenu peuvent
varier en Europe," commente Javier Cabrerizo, Directeur Enterprise Content Management et Services Collaboratifs chez
Oracle EMEA. "Ce rapport montre que la moitié des entreprises européennes voient bien que la gestion des contenus
non structurés dans leurs multiples formats est critique pour la continuité et la productivité de leur activité. En même
temps, il montre qu’il existe aujourd’hui des barrières parfaitement identifiées : le courrier électronique est sur-utilisé
pour la gestion de contenus ; l’approche départementale de la gestion de contenus génère des difficultés pour partager
des contenus entre services ; et les outils souples de type Web 2.0 sont perçus comme particulièrement bien adaptés pour
les environnements dynamiques. Le but d’Oracle est de montrer aux entreprises comment une approche stratégique de la
gestion de contenus basée sur une infrastructure, par opposition à une approche morcelée ou départementale, peut
apporter des avantages déterminants en matière de productivité ou de meilleur contrôle du risque, puisque dans ce
domaine tout comme pour les Progiciels de Gestion Intégrés ou pour les solutions de Gestion de la Relation Client, une
entreprise n’a pas intérêt à s’équiper de cinq systèmes différents. De la même manière, seule une approche basée sur une
infrastructure unique telle qu’Oracle Universal Content Management répond aux besoins des entreprises de se doter d’un
environnement réellement collaboratif qui implique tous les services, tout en étant capable d’apporter des avantages à
tous ses départements."


Cette étude européenne s’est basée sur 527 entretiens téléphoniques avec des grands décideurs informatiques (75 par
pays) en Allemagne, Belgique, Espagne, France, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suisse.

Toutes les personnes interrogées
étaient responsables des décisions de mise en oeuvre des stratégies et systèmes d’entreprise tels que l’ECM, le CRM ou
l’ERP. Chaque entretien a duré de 15 à 20 minutes, dans la langue du pays.


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