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L’étude sur la gestion des cas de NICE Actimize fait apparaître les principales raisons pour unifier la gestion des risques liés au crime financier

novembre 2015 par NICE ACTIMIZE

NICE Actimize, société de NICE Systems annonce les résultats d’une étude sur les opérations criminelles financières menée auprès de professionnels des grandes institutions financières au cours de l’été dernier. Afin de mieux comprendre les défis spécifiques auxquels doivent faire face ces institutions en adoptant une approche plus intégrée pour se préparer en interne, NICE Actimize s’est penchée plus spécifiquement sur la situation globale de la gestion des risques en entreprise.

Selon cette étude de NICE Actimize, les trois principales motivations pour unifier les opérations de lutte contre le crime financier et la gestion de la conformité au niveau des risques sont : la protection de la réputation ; la transparence et les contrôles réglementaires ; les implications financières des crimes et des amendes. Plus de la moitié des sondés (56%) ont déclaré se soucier de la réputation de leur entreprise.

L’étude a également démontré que parmi les grandes institutions financières ayant au moins 60 milliards $ d’actifs, 53% possédaient plus de 10 systèmes d’analyse et/ou de détection et 31% en possédaient plus de 20. Ces solutions déconnectées et les activités éparses qui en découlent non seulement affectent leur efficacité mais aussi empêchent les institutions financières de détecter les liens cachés qui leur permettraient d’identifier des activités criminelles, selon NICE Actimize.

Lorsque les institutions financières essaient de gérer tous ces systèmes et procédés divers et variés, elles rencontrent toute une série d’obstacles. Les personnes qui ont répondu à l’étude de NICE Actimize ont déclaré que pour les grandes institutions, les principaux défis pour unifier le crime financier à la gestion de la conformité des risques sont la consolidation de systèmes en silos (58%), l’existence d’une structure organisationnelle où les différentes fonctions ont des priorités fluctuantes ou concurrentes (56%) et l’intégration de systèmes internes complexes (47%).

"Les régulateurs se concentrent sur les processus et les contrôles, et les institutions financières sont plus enclines à augmenter la cohérence et la transparence de leurs investigations, un processus qui est grandement simplifié par la mise en place d’une gestion centralisée", a déclaré Chad Hetherington, Global Vice President & General Manager, Gestion de cas des risques chez NICE Actimize. "Alors qu’il n’existe aucune réglementation stipulant que les institutions financières doivent gérer centralement toutes leurs transactions, celles qui possèdent des systèmes de gestion des cas centralisés peuvent standardiser les processus, être plus réactives aux besoins des régulateurs et mieux gérer les risques sur la conformité et le crime financier."

Les implications financières des crimes et des amendes sont les deux principales raisons qui motivent les sondés (45%) à unifier leur gestion des risques. Les toutes récentes amendes ont renforcé le besoin de partager plus largement ses renseignements, notamment au-delà de ses frontières. Depuis 2009, un total de 184 milliards $ d’amendes pour violation de la réglementation ont été payés par 46 grandes banques et 2 organismes non bancaires, dont 174 affaires ont défrayé la chronique.

Les solutions NICE Actimize sont composées de : Enterprise Risc Case Manager (ERCM) qui améliore l’efficacité opérationnelle en automatisant et en rationnalisant les processus, en permettant d’avoir une vue holistique et unifiée des risques sur de nombreux secteurs d’activité, de canaux, produits et clients.


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