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80% des CIOs préfèrent administrer leur infrastructure virtuelle à partir de leurs systèmes d’administration existant, selon une étude Veeam

mai 2011 par Veeam Software

Veeam Software annonce les résultats d’une étude indépendante menée auprès de 253 directeurs informatiques, selon laquelle 80% d’entre eux préfèreraient étendre leurs solutions d’administration déjà en place pour administrer la partie virtualisée de leur infrastructure. 45% des personnes interrogées déclarent que des problèmes d’administration freinent actuellement leur adoption de la virtualisation.

Parmi les résultats de l’étude :

 49% des entreprises déclarent qu’un manque de visibilité au sein de leur environnement virtuel retarde la résolution de problèmes

 48% des entreprises choisissent un hyperviseur en fonction de sa facilité d’administration plutôt qu’en fonction de la performance de ses fonctionnalités

 80% des entreprises utilisant des outils spécifiques pour administrer leur infrastructure préfèreraient utiliser leur outil d’administration globale mais ne le peuvent pas par manque de fonctionnalités, telles que la capacité à contrôler, administrer et modifier finement une infrastructure virtuelle

« Lorsque les entreprises ont commencé à adopter la virtualisation, l’intérêt était clair : être capable de déployer de grands environnements informatiques sans les besoins liés à une importante infrastructure physique, » commente Ratmir Timashev, Président et CEO de Veeam. « Cependant, avec ces infrastructures plus étendues et de plus en plus complexes sont apparues des problématiques d’administration auxquelles les outils traditionnels ne pouvaient faire face. Ainsi, plutôt que d’avoir une seule vision d’ensemble de leur patrimoine informatique, les entreprises en ont une image progressivement plus fractionnée. S’il n’est pas corrigé, ce manque de visibilité limite la capacité des services informatiques à administrer efficacement leurs infrastructures virtuelles, et par conséquent réduit le véritable potentiel de cette technologie. »

45% des entreprises interrogées ont déclaré que les problématiques d’administration ralentissent actuellement leur adoption de la virtualisation. De plus, parmi celles qui utilisent à la fois VMware vSphere® et Microsoft Hyper-V, 71% rencontrent actuellement des difficultés pour administrer les deux hyperviseurs à partir d’une seule console.

« L’avenir de la virtualisation doit être la coexistence, » poursuit R. Timashev. « Cette technologie devient une plateforme si cruciale pour de nombreuses entreprises, que les clients ne devraient pas être en position de devoir faire un compromis entre la solution d’un fournisseur et celle d’un autre. Notamment si cela signifie que les économies escomptées en premier lieu avec le déploiement d’une infrastructure virtuelle sont dépensées par le coût d’administration. »

A propos de l’étude

Vanson Bourne, cabinet de conseil en marketing spécialisé sur l’étude des technologies, a enquêté auprès de 253 directeurs informatiques d’entreprises aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Allemagne et en France, qui emploient plus de 1000 personnes.


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