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36% des petites entreprises victimes de fuites de données en 2019

septembre 2019 par Kaspersky Lab

Environ 36 % des petites entreprises ont été victimes de fuites de données en 2019, selon une récente enquête de Kaspersky*. Alors que ces incidents peuvent avoir des conséquences dramatiques pour elles, l’enquête révèle également que les mesures de sécurité prises pour s’en prémunir sont souvent insuffisantes.

Faits marquants :

• Les fuites de données visant les petites entreprises se multiplient et surtout, leur nombre croit plus rapidement que dans tout autre secteur.

• Bien que la proportion des victimes reste supérieure parmi les PME (48 %) et les grandes entreprises (53 %), elle a augmenté en un an de six points de pourcentage dans les plus petites (TPE, où elle était de 30 % en 2018).

Les incidents de cybersécurité touchant les entreprises de moins de 50 salariés font rarement la une de l’actualité. Pourtant, ils peuvent avoir des conséquences désastreuses pour elles. Alors que leurs ressources sont souvent limitées et concentrées sur leur croissance, ces entreprises doivent régulièrement interrompre ou ralentir leur travail au risque d’une perte de chiffre d’affaires pour chaque heure voire journée de paralysie. En cas de fuite de données personnelles de ses clients, une petite entreprise peut perdre leur confiance et s’expose à des pénalités financières pour infraction aux réglementations en vigueur, notamment le RGPD.

Pour limiter les risques, mais aussi limiter l’impact d’une fuite sur l’organisation, la préparation et l’anticipation sont essentielles. Cependant, comme le montre l’enquête, pour un tiers des TPE (33 %), il n’existe aucune gestion centralisée de la cybersécurité et la protection des postes de travail reste du ressort de chaque employé. En outre, certaines entreprises utilisent des solutions de sécurité grand public (25 %) qui, même si elles peuvent offrir un niveau de protection élémentaire, ne disposent pas des fonctionnalités spécifiques indispensables à la sécurité en entreprise, par exemple pour la protection des serveurs ou la centralisation de la gestion.

« Les petites entreprises se focalisent souvent – à juste titre – sur le bon déroulement et la croissance de leur activité. La cybersécurité ne vient peut-être pas en tête de leurs priorités, alors que le coût d’une négligence dans ce domaine ne fera qu’augmenter. En effet, les cyber menaces n’opèrent pas de distinction entre les victimes et même les TPE ont quelque chose à y perdre, notamment des données sensibles », commente Tanguy de Coatpont, directeur général de Kaspersky France. « Cependant, la bonne nouvelle est que, pour pouvoir se protéger à la fois contre les malware et le facteur de risque humain, ces petites structures n’ont pas besoin d’investir lourdement ni de recruter des spécialistes pointus. Il leur suffit de choisir une solution adaptée. »

* Enquête Kaspersky IT Security Risks Survey réalisée en avril 2019 auprès de 1138 entreprises de 1 à 49 salariés.


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